A moi, A moi!!!

Alors voyons voyons ce que jai en réserve...

Ya ca: https://i.servimg.com/u/11/05/83/96/rose10.jpg
une rose que jai faite en cour de dessin lannée passée ^^

Un dessin que jai fait ya quelque année que jaime bcp:
https://i.servimg.com/u/11/05/83/96/210.jpg

et voici une photo retouchée par mes soins mdr milles excuses à madame, cétai trop tentant... https://i.servimg.com/u/11/05/83/96/jessic10.jpg

voilà maintenant un petit essai d'écriture fait en cour de bio because pas envie de suivre le cour... lol

HISTOIRE DE PHILIBERT LE SAUVAGE

Le petit Philibert était un gosse très imaginatif. Mais il ne l’était seulement lorsqu’il dormait…
Philibert aimait dormir, oh oui ! Il aimait beaucoup ça…
Il aimait emmitoufler son petit corps dans un duvet bien douillet. Il aimait ce sentiment de bien être lorsqu’il commençait à perdre pied et à sombrer dans le noir le plus complet. Et quand Philibert arrivait dans le noir, c’est à ce moment que tout commençait.

Chaque nuit, le gosse faisait de nouvelles « rencontres », comme il les appelait. Ces « rencontres », il ne les racontait à personne, il gardait jalousement ce qu’il prenait pour un don. Il n’a jamais ressenti le besoin d’en parler jusqu’à une certaine nuit…

La nuit dont je parle, Philibert s’est couché comme d’habitude, s’est emmitouflé et à sombrer dans le noir. Une fois dans le noir, il attendit. Une heure, peut être deux, il ne savait pas.
Quand soudain un bruissement se fit entendre, plutôt éloigné… au début ! Car il se rapprochait de plus en plus de Philibert – ça ne me fait pas peur… - pour se transformer en bruit de pas, de pas lourds qui semblaient venir de tous les cotés.

Aller, viens ! s’impatienta Philibert.

Les pas cessèrent. Le gosse sentit une haleine chaude sur sa gorge. Il ne bougea pas. Il n’en eu pas le temps.
Des crocs s’enfoncèrent dans sa gorge. Il ne bougeait toujours pas. Il voulait tout ressentir, jusqu’au pincement des dents se transformant en brûlure plus elles pénétraient dans sa chair. Il ressentit aussi son sang le quitter petit à petit, emportant avec lui chaleur et force hors de son corps…

BIP BIP BIP

Le réveil sonne. C’est le matin.
Philibert sort lentement de son sommeil. Son cou lui fait mal. Il fonce vers un miroir, convaincu qu’il va apercevoir deux trous sur son cou.
Rien. Il n’y a rien. Le gosse n’y croit pas, il se souvient encore de la morsure, il se souvient avec une telle clarté de tous les détails qu’il est impensable que ce ne soit pas vrai.
Le gosse ressent à présent le besoin d’en parler, qu’on lui dise que tout était vrai. Il en a besoin.
Alors il raconte tout. Il y raconte avec tellement de conviction, d’enthousiasme et de précision que tout le monde l’appelle désormais « le sauvage ».
Philibert ne comprend pas pourquoi personne ne le croit et ne veut lui dire que tout était réel. Il doit les convaincre. A tous prix.

***

Un soir en rentrant du travail, les parents trouvèrent leur fils gisant sur le tapis du salon, agonisant, deux trous ornant son cou juvénile. La tapis, beige à l’origine, était à présent imbibé de rouge.

Heureusement pour elle, la mère s’évanouit. Elle ne pu pas voir son fils trépasser un sourire aux lèvres – Je vous l’avait bien dit que c’était vrai. – et une fourchette de barbecue à la main…

HAHAHAHA t jalouse de Jessica!!!!!

nan pourquoi???